samedi 23 octobre 2010

Les larmes.

C'est si beau d'écouter Rubinstein au lieu du professeur Chanet, de se laisser aller à ne rien faire, à une heure où plus personne ne répond. Ils ne comprennent pas, comme c'est dur parfois, de faire comme si tout allait bien, d'aller jusqu'à les convaincre que je suis heureuse, que je ne peux que l'être. Ils ne comprennent pas ma peur de l'échec, cette peur viscérale qui me paralyse, ils ne comprennent pas comme l'idée même d'échouer me fait souffrir, m'angoisse.

1 commentaire:

  1. Je me rends compte aujourd'hui de tout ce que j'ai délaissé depuis septembre. Je n'étais apparemment pas passée ici depuis un bon moment. C'est dommage, qu'il y ait des larmes, j'aurais préféré des sourires. Mais il paraît qu'il est toujours plus difficile de parler du bonheur.. Je connais tellement cette peur de l'échec, tellement, et même si ce doit être différent entre toi et moi, je crois que je te comprends un minimum. Nous sommes ensemble dans l'adversité, comme tu dirais. :). Je t'aime, prends soin de toi. <3

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