Tes jolis mots sur ma page personnelle, comme on dit dans le milieu, ça réchauffe le coeur, ça fait sourire sans trop oser, ça donne envie de t'aimer :) Ecrire, ça me manquait, si tu savais le nombre de brouillons que j'ai gardé sur over blog, des phrases que j'écrivais, que je relisais, mais je bloquais, souvent. a Naples je me suis rendue compte qu'écrire pour moi n'est pas un art (comme pour Hélène, ou toi, qui faites des jolies phrases avec des jolis mots) mais simplement une manière de libérer ce qu'il y a à l'intérieur de moi et de prendre de la distance. Et puis, de lire Stendhal, Beckett, et tous ces gens là m'empêchait d'écrire sans complexe, à ma manière... Et puis, depuis que je me suis rendue compte qu'il fallait écrire pour évacuer -parce qu'à l'intérieur, ça ne tenait plus-, j'écris à outrance, ça coule sur le blog, sur FB, et puis par ici aussi... Enfin. Estelle, belle Estelle, parce que même si tu avais du mal à me croire, je t'ai toujours trouvée belle, je t'aime. Ces jolis sourires en fin de semaine, et ses secrets, et ses histoires, et notre projet, de rencontrer Obama aux Bahamas (with British accent please), tout ça permet d'aller de l'avant.. Pour remplir l'infini d'avenir. Pour essayer de devenir quelqu'un, ce qui n'est pas une mince affaire, même si une étoile née le 5 mai a confiance en moi..
Ne fais pas ce que tu veux. Fais ce que tu ressens. Il y a une chanson de salsa qui fait : « Mon cerveau disait "pense!" et mon corps "moi, je le sens" » (je ne sais pas si c'est très clair mais j'espère que tu m'as comprise). Parce que malgré mes airs et mon prétendu orgueil, je me suis rendue compte à cause de lui que j'étais faible. Et là dessus, on se rejoint non? Enfin, avec ou sans... you will go on, and on (unpeucommedanstitanic - jesors).
Guillermou inside. Et ça n'est pas près de s'arrêter, hein? Ca continuera, l'année prochaine, en CAE, et pendant les cours pour préparer Sciences Po (hein?) et à Sciences Po si ça se trouve (hein? dis, dis, tu viendras?).
Tes jolis mots sur ma page personnelle, comme on dit dans le milieu, ça réchauffe le coeur, ça fait sourire sans trop oser, ça donne envie de t'aimer :)
RépondreSupprimerEcrire, ça me manquait, si tu savais le nombre de brouillons que j'ai gardé sur over blog, des phrases que j'écrivais, que je relisais, mais je bloquais, souvent. a Naples je me suis rendue compte qu'écrire pour moi n'est pas un art (comme pour Hélène, ou toi, qui faites des jolies phrases avec des jolis mots) mais simplement une manière de libérer ce qu'il y a à l'intérieur de moi et de prendre de la distance. Et puis, de lire Stendhal, Beckett, et tous ces gens là m'empêchait d'écrire sans complexe, à ma manière...
Et puis, depuis que je me suis rendue compte qu'il fallait écrire pour évacuer -parce qu'à l'intérieur, ça ne tenait plus-, j'écris à outrance, ça coule sur le blog, sur FB, et puis par ici aussi...
Enfin. Estelle, belle Estelle, parce que même si tu avais du mal à me croire, je t'ai toujours trouvée belle, je t'aime. Ces jolis sourires en fin de semaine, et ses secrets, et ses histoires, et notre projet, de rencontrer Obama aux Bahamas (with British accent please), tout ça permet d'aller de l'avant.. Pour remplir l'infini d'avenir. Pour essayer de devenir quelqu'un, ce qui n'est pas une mince affaire, même si une étoile née le 5 mai a confiance en moi..
Ne fais pas ce que tu veux. Fais ce que tu ressens. Il y a une chanson de salsa qui fait : « Mon cerveau disait "pense!" et mon corps "moi, je le sens" » (je ne sais pas si c'est très clair mais j'espère que tu m'as comprise).
Parce que malgré mes airs et mon prétendu orgueil, je me suis rendue compte à cause de lui que j'étais faible. Et là dessus, on se rejoint non?
Enfin, avec ou sans... you will go on, and on (unpeucommedanstitanic - jesors).
Guillermou inside. Et ça n'est pas près de s'arrêter, hein? Ca continuera, l'année prochaine, en CAE, et pendant les cours pour préparer Sciences Po (hein?) et à Sciences Po si ça se trouve (hein? dis, dis, tu viendras?).
Je t'aime.