lundi 17 août 2009

Des Perriers citron à minuit passé aux escaliers du métro et nos cavalcades parisiennes.

Plus de Yop framboise dans le frigo, plus de tresse le long de l'épaule, plus d'escapades imprévues ni de retrouvailles improbables (voire inespérées). Plus d'après-midis passées dans les librairies, plus de veillée, plus de repas de famille ni de siestes au soleil, plus d'eau glacée, plus de cartes postales, plus de lunettes de soleil à piquer. Plus de photos à voler, plus de grasses matinées, plus aucun de tes pyjamas dans le tiroir, plus de rasoirs, plus de petits mots, plus de larmes dans la voiture, plus personne dans mon lit, mais toujours ton absence, comme une plaie béante ; plus de déceptions inutiles. Plus de cousin qui joue de la guitare éléctrique en pleine nuit, plus autant de fous rires à table mais une trente-septième année que l'on oubliera pas et la rentrée qui approche à grands pas.